Journée d’ouverture de la WBTC 4ème édition (première partie)
Nos journalistes envoyés sur place nous décrivent en détail la journée d'ouverture de la WBTC 4ème édition
Nous sommes un groupe de journalistes prêt à partir pour les Galápagos et la World Best Team Cup, la compétition la plus attendue de ce début d’année. Après des mois d’attente, nous sommes fin prêts à aller couvrir l’événement footballistique que le monde entier attend avec impatience.
Aéroport Charles de Gaulle, Vendredi 4 janvier 2013, 17h, nous attendons avec impatience le départ de notre avion, direction : les Galápagos. Devant le tableau d’affichage, nous trouvons les premiers supporters attendant le même avion que nous. Les habits ne trahissent pas, dans ce groupe de 6 personnes, trois arborent les couleurs du FC Pagoto, deux des Doges de Lille et enfin le dernier supporter est vêtu d’un maillot de l’OL. Nous nous empressons de venir leur demander leurs impressions sur la compétition à venir.
« Nous sommes un groupe d’amis mais comme vous pouvez le voir, nous ne défendons pas les mêmes équipes. Nous irons cependant, ensemble, vibrer au rythme de la World best Team Cup » nous livre le premier dont le maillot est floqué au nom de Rémi, meilleur buteur de la précédente compétition.
Notre avion est annoncé et c’est une véritable vague de supporters qui s’avance vers le quai d’embarquement. Notre avion étant sans escale jusqu’aux Galápagos, c’est certain qu’il est entièrement rempli de fans venus pour la fameuse compétition.
Après de longues minutes d’attente le temps d’enregistrer les bagages, nous prenons enfin place dans l’avion. Nous avons interviewez des dizaines de supporters et tous sont impatient mais aussi conscient de la chance qu’ils ont de pouvoir se rendre sur les îles pour la compétition.
Nous quittons Paris et la France par la même occasion direction : Galápagos ! Les nombreux passagers jubilent et brûlent d’impatience d’aller voir l’événement le plus attendu de l’année !
Après 13 longues heures de vol nous arrivons enfin au FCP International Airport. La vue des premières lumières des îles ont réveillées tout l’avion quelque peu endormi par le vol. Chacun est collé aux hublots et s’émerveille à la vue des terres de la WBTC. L’atterrissage se fit sans encombre et nous foulons, pour la majorité, la première fois, le sol des Galápagos. Chacun règle sa montre au fuseau horaire. Il n’est que 23h heure locale. Nous sommes partis il y a 13 heures mais les 7 heures de décalage nous indiquent que nous n’aurions en fait voyagés que 6 heures ; plutôt déstabilisant pour certains d’entre nous.
Nous traversons le magnifique aéroport pour récupérer nous bagages et nous dirigeons vers les navettes. Comme on nous l’avait annoncé, le réseau est très élaboré puisqu’un grand nombre de véhicules nous attendent et ce à chaque arrivées d’avions. A peine arrivé, un appareil aux couleurs de British Airways atterrit. Le balai aérien est très important puisque des milliers de supporters doivent être acheminés en un temps record !
Arrivé au terminal des navettes, toutes les directions sont possibles, tous les stades sont desservis et même Puerto Ayora. Nous prenons une navette qui nous amènera vers le Galápagos Football Complex là où nous attend une chambre dans un des nombreux hôtels de la nouvelle cité sportive.
La navette file vers l’île Santa Cruz, les nombreuses personnes à bord semblent épuisés par le voyages mais restent collés aux fenêtres tentant d’apercevoir le moindre paysage, la moindre infrastructure et pourquoi pas un signe d’une équipe.
Nous passons à quelques centaines de mètres du Pagoto Stadium éclairés de dizaines de couleurs comme à son habitude en période de compétition. La vue de ses deux arches si caractéristiques nous rappelle que d’ici de nombreux jours, la finale se tiendra ici… Nous prenons un bateau pour nous mener à l’île Santa Cruz où nous attend une seconde navette. C’est le moment pour nous de croiser d’autres supporters notamment Sud-Américain arrivés par l’avion précédent. Le même sentiment est partagé par tous : si nous sommes ici pour supporter des équipes différentes, nous sommes ici pour une même raison : la World Best Team Cup.
C’est ainsi que nous traversons l’île Santa Cruz vers l’ouest et le GFC. Nous passons là encore à quelques centaines de mètres de la FCP SportCity dont les hôtels sont tous bien illuminés. Nous ne pouvons qu’apercevoir les lumières du Pagoto Olympico avant de rouler vers le centre puis l’Ouest de l’île.
Après quelques minutes de trajet, nous apercevons les premières lumières du nouveau complex des Galápagos, symbole de la 4ème édition de la WBTC.
La navette nous dépose finalement devant notre hôtel. Avant de rentrer, un petit coup d’œil nous permet de goûter aux premières images de ce lieu déjà magnifique en pleine nuit. Demain risque d’être une longue journée, nous allons ne reposer pour pouvoir être au top pour la journée d’ouverture de la WBTC 4ème édition
G. Arhalt